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El grito sagrado

« Écoutez, Mortels, le cri sacré : Liberté, Liberté, Liberté ! » – au fronton du Monument au Drapeau, sur les bords du majestueux Paraná, est gravé cet incipit de l'hymne national, revendication viscérale des peuples américains. Confrontation avec un patriotisme argentin exacerbé.

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« Le Río Paraná, descendant puissamment du Brésil, est le deuxième plus grand fleuve d'Amérique du Sud. »

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Nombre de photos : 19

Date : 01/12/2007

Localisation : Santa FeArgentine – région Litoral

Quelques précisions

Cet album est le fruit de deux passages à Rosario, l'un en décembre 2007 (appareil photo Lumix Panasonic), l'autre en avril 2010 (appareil photo Alpha700 Sony) ; d'où des différences notoires dans la qualité des photos...

Les photos que nous avons ratées

Nous ne nous sommes jamais arrêtés à Rosario que “par hasard”, toujours de façon improvisée, sans disposer de beaucoup de temps, de sorte que nous n'avons pas eu l'occasion de photographier la ville même, en-dehors du Monumento et du Parc mitoyen. Ce qui est regrettable, car Rosario possède quelques beaux boulevards arborant de foisonnants palmiers, quelques places verdoyantes, un centre historique pas totalement défiguré – une offre culturelle correcte et une activité nocturne débridée complètent le tableau et en font un très agréable point de chute en Argentine, paraît-il.

Comment y aller ?

Rosario est très aisément accessible, en voiture, en car, en avion, depuis Buenos Aires, dont elle n'est distante que de 300km.

Où et que manger ?

Lors de notre premier passage à Rosario, nous avions savouré un délicieux plat de yacaré (caïman) dans un restaurant dont nous avons oublié le nom et qui, de toute façon, a depuis mis la clef sous la porte – regrettable ! A notre deuxième passage, nous n'avons fait que prendre un verre sur les bords du Paraná, dans un agréable restaurant japonais possédant une petite terrasse dont les tabourets sont alignés face au fleuve – on sirote son Fernet en regardant passer les cargos qui remontent le fleuve à la nuit tombante.

Ce que nous avons visité

Musées

Monumento a la Bandera : reproduit à l'envie sur les billets de 10 pesos, le Monument au Drapeau est une grande machinerie lapidaire (mais peu laconique) élevée à la gloire de la bannière nationale et de son créateur, Manuel Belgrano, sur les rives du Paraná, à Rosario. Poètes et anarchistes, s'abstenir.

Géographie et thématiques culturelles

H2O

Río Paraná : le cours puissant de ce mastodonte drague les rives polychromes du Litoral argentin : la pourpre des Missions, les ocres de Mésopotamie, nénuphars et feuillages du Delta, un soupçon de pollution, et toute cette peinturlure épaisse s'en va badigeonner un estuaire que, curieusement, on s'entête à croire argenté.

Botanique

Espèces diverses : faute de temps (ou de patience) pour photographier telle fleur ou tel arbre sous toutes ses coutures, plusieurs espèces –certaines parmi les plus emblématiques d'ailleurs –n'ont pu être gratifiées d'une fiche en bonne et due forme, hélas, et devrons se contenter d'une seule vignette dans ce pot-pourri de circonstance.

Héritages

Bandera albiceleste : entre le ciel immense et la mer, livides, la face rayonnante de l'astre solaire s'élève au-dessus d'un aveuglant désert de sel – hilare et échevelé, le Soleil de Mai paraît jouir de ce décor démesuré. Il pose fier et jovial, moins confiant en sa bonne étoile qu'indifférent à ses caprices. A-t-on jamais vu drapeau aussi empathique?

Ornithologie

Hornero (Fournier roux) : c'est officiellement l'oiseau “national” d'Argentine, sa coqueluche – qui croirait cependant qu'il soit le calvaire des pouvoirs publics ? Ce passereau a la fâcheuse manie de bâtir son habitat où bon lui semble, et l'on retrouve sa petite cahute de boue séchée, tel un four en terre, nichée sur les toits, les poteaux, les statues. Quel impudent !

Parcours

Panamericana : de raccordements en prolongements, on ne sait plus très bien au final quel est le tracé officiel de cet axe composite qui irrigue toutes les Amériques – mais ce qui est sûr, c'est qu'après une grandiose traversée des Andes l'Argentine en constitue le laborieux épilogue, tandis que la Terre de Feu s'offre légitimement comme bouquet final.

Les fiches thématiques sans ancrage local particulier ne sont pas épinglées sur la carte.

LÉGENDE
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