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 El grito sagrado
		El grito sagrado« Écoutez, Mortels, le cri sacré : Liberté, Liberté, Liberté ! » – au fronton du Monument au Drapeau, sur les bords du majestueux Paraná, est gravé cet incipit de l'hymne national, revendication viscérale des peuples américains. Confrontation avec un patriotisme argentin exacerbé.
 
		« Le Río Paraná, descendant puissamment du Brésil, est le deuxième plus grand fleuve d'Amérique du Sud. »
 Quelques précisions
Quelques précisions
 Les photos que nous avons ratées
Les photos que nous avons ratées
 Comment y aller ?
Comment y aller ?
 Où et que manger ?
Où et que manger ?
 Ce que nous avons visité
Ce que nous avons visité

 Monumento a la Bandera : reproduit à l'envie sur les billets de 10 pesos, le Monument au Drapeau est une grande machinerie lapidaire (mais peu laconique) élevée à la gloire de la bannière nationale et de son créateur, Manuel Belgrano, sur les rives du Paraná, à Rosario. Poètes et anarchistes, s'abstenir.
Monumento a la Bandera : reproduit à l'envie sur les billets de 10 pesos, le Monument au Drapeau est une grande machinerie lapidaire (mais peu laconique) élevée à la gloire de la bannière nationale et de son créateur, Manuel Belgrano, sur les rives du Paraná, à Rosario. Poètes et anarchistes, s'abstenir.
 Géographie et thématiques culturelles
Géographie et thématiques culturelles

 Río Paraná : le cours puissant de ce mastodonte drague les rives polychromes du Litoral argentin : la pourpre des Missions, les ocres de Mésopotamie, nénuphars et feuillages du Delta, un soupçon de pollution, et toute cette peinturlure épaisse s'en va badigeonner un estuaire que, curieusement, on s'entête à croire argenté.
Río Paraná : le cours puissant de ce mastodonte drague les rives polychromes du Litoral argentin : la pourpre des Missions, les ocres de Mésopotamie, nénuphars et feuillages du Delta, un soupçon de pollution, et toute cette peinturlure épaisse s'en va badigeonner un estuaire que, curieusement, on s'entête à croire argenté.

 Espèces diverses : faute de temps (ou de patience) pour photographier telle fleur ou tel arbre sous toutes ses coutures, plusieurs espèces –certaines parmi les plus emblématiques d'ailleurs –n'ont pu être gratifiées d'une fiche en bonne et due forme, hélas, et devrons se contenter d'une seule vignette dans ce pot-pourri de circonstance.
Espèces diverses : faute de temps (ou de patience) pour photographier telle fleur ou tel arbre sous toutes ses coutures, plusieurs espèces –certaines parmi les plus emblématiques d'ailleurs –n'ont pu être gratifiées d'une fiche en bonne et due forme, hélas, et devrons se contenter d'une seule vignette dans ce pot-pourri de circonstance.

 Bandera albiceleste : entre le ciel immense et la mer, livides, la face rayonnante de l'astre solaire s'élève au-dessus d'un aveuglant désert de sel – hilare et échevelé, le Soleil de Mai paraît jouir de ce décor démesuré. Il pose fier et jovial, moins confiant en sa bonne étoile qu'indifférent à ses caprices. A-t-on jamais vu drapeau aussi empathique?
Bandera albiceleste : entre le ciel immense et la mer, livides, la face rayonnante de l'astre solaire s'élève au-dessus d'un aveuglant désert de sel – hilare et échevelé, le Soleil de Mai paraît jouir de ce décor démesuré. Il pose fier et jovial, moins confiant en sa bonne étoile qu'indifférent à ses caprices. A-t-on jamais vu drapeau aussi empathique?

 Hornero (Fournier roux) : c'est officiellement l'oiseau “national” d'Argentine, sa coqueluche – qui croirait cependant qu'il soit le calvaire des pouvoirs publics ? Ce passereau a la fâcheuse manie de bâtir son habitat où bon lui semble, et l'on retrouve sa petite cahute de boue séchée, tel un four en terre, nichée sur les toits, les poteaux, les statues. Quel impudent !
Hornero (Fournier roux) : c'est officiellement l'oiseau “national” d'Argentine, sa coqueluche – qui croirait cependant qu'il soit le calvaire des pouvoirs publics ? Ce passereau a la fâcheuse manie de bâtir son habitat où bon lui semble, et l'on retrouve sa petite cahute de boue séchée, tel un four en terre, nichée sur les toits, les poteaux, les statues. Quel impudent !

 Panamericana : de raccordements en prolongements, on ne sait plus très bien au final quel est le tracé officiel de cet axe composite qui irrigue toutes les Amériques – mais ce qui est sûr, c'est qu'après une grandiose traversée des Andes l'Argentine en constitue le laborieux épilogue, tandis que la Terre de Feu s'offre légitimement comme bouquet final.
Panamericana : de raccordements en prolongements, on ne sait plus très bien au final quel est le tracé officiel de cet axe composite qui irrigue toutes les Amériques – mais ce qui est sûr, c'est qu'après une grandiose traversée des Andes l'Argentine en constitue le laborieux épilogue, tandis que la Terre de Feu s'offre légitimement comme bouquet final.
Les fiches thématiques sans ancrage local particulier ne sont pas épinglées sur la carte.
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